Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Reseau Dynamiques familiales en Afriques subsaharienne

14 décembre 2005

Appel à communication "African Family and Colonial Law"

"African Family and Colonial Law"


From: Marie Rodet
Institute for African Studies, Austria
<mrodet@hotmail.com>


Call for papers for a panel on African Family and Colonial Law,
ASAUK Biennal Conference, London, Sept 11-13, 2006.

Dear colleagues,

We are organising an interdisciplinary panel for ASAUK Biennal
Conference at the School of Oriental and African Studies, London,
11-13 September 2006.

This panel focuses on 'Shaping the African family: Colonial Law
and Social Change in Urban Centres' and aims to present different
case studies which explore colonial legal systems in different
regions of Africa. The papers will first seek to provide insights
into the social change which Africans experienced in the realms
of family life and social status. They will attempt to reflect
on how the interaction between Africans and colonial powers,
through the newly created legal systems, shaped the mutual
discourse on the African family. We are looking for a third
panelist whose paper will address these issues in
the sphere of family law in post-colonial context.

The deadline for nominating paper-givers is 1 January 2006. Thus, we
would like to get any indication of interest ASAP, and paper abstract
no  later than December 23. Please send an email indicating your
interest and a proposed topic to Marie Rodet mrodet@hotmail.com or
Elke Stokreiter es4@soas.ac.uk
Publicité
14 décembre 2005

Appel à communication. Colloque "Une opposition qui ne dit pas son nom"

Colloque international :

28 et 29 septembre 2006

 

Une opposition qui ne dit pas son nom

Représentations et pratiques populaires (contre le pouvoir)

au Burkina Faso

 

Appel à communication

Les résultats des élections présidentielles du 13 novembre au Burkina Faso ne font aucun doute. Blaise Compaoré prendra sa propre succession au poste de président de la république. En dépit d’une pléthore de candidats, le débat autour des élections est, paradoxalement, très peu politique.

Une analyse de la presse montre, en effet, que les discours et les discussions autour d’orientations idéologiques, de perspectives politiques ou de visions cherchant à améliorer la situation nationale aux niveaux économique, social etc. sont rares. Si les dénonciations de corruptions, de manœuvres et de coups politiques trouvent place et s’affichent même avec une certaine liberté dans les colonnes des journaux, n’épargnant pas toujours le président lui-même, possible héritage bénéfique de l’affaire Zongo, on constate en revanche l’absence de caractère politique au débat public, tout au moins à celui mené dans la presse.

Pas d’autres candidats crédibles, pas de débat politique, est-ce à dire que le Burkina est un pays sans opposition ? Si l’on se limite à entendre par le terme opposition, une opposition politique structurée dans le cadre institutionnel d’un parti, armée d’un discours et d’une idéologie qui se distingue de celle du pouvoir, on peut affirmer que l’opposition politique est faible, très faible même.

C’est cette faiblesse qui nous invite à suggérer une reformulation, ou plus exactement une extension de la notion d’opposition afin de répondre de façon plus fine, en tenant mieux compte des subtilités, de l’évolution des mentalités, du vécu quotidien local hors d’un cadre limité à une analyse de parti, à la question de savoir si le Burkina est un pays sans opposition. Cette démocratie formelle, qui sous bien des aspects a les allures d’un régime totalitaire au service de quelques-uns, peut certes marginaliser l’opposition politique, institutionnalisée, mais peut-elle réduire, comprimer, annihiler, évincer une opposition de conscience, une opposition populaire présente dans les pratiques quotidiennes ? La première démarche pourrait être de préciser ce que nous entendons par opposition afin de savoir si elle existe et d’évaluer son éventuelle portée et sa signification.

Il y a vingt-cinq ans déjà, Politique Africaine invitait à penser le politique par le bas, cela reste toujours une nécessité aujourd’hui. Nécessité théorique sans doute mais, plus que jamais, et peut-être avant tout, nécessité méthodologique. C’est seulement en écoutant le terrain, les réflexions, les actes, les opportunités, les aspirations, les lassitudes populaires que nous pourrons à partir d’un travail inductif, mené sur des sites différenciés et multiples éclairer cette question. Une telle perspective ne peut s’accommoder d’une définition a priori de la notion d’opposition, c’est justement à travers le travail empirique que se dégagera ce que peut recouvrir un tel terme. C’est là l’objectif que se donne ce colloque : cerner les formes, les lieux, les représentations, les pratiques d’oppositions populaires.

Les jeunes universitaires ouagalais élevés pendant la révolution ont gardé des avis très tranchés et une représentation toute empreinte de leur éducation, de même que les jeunes qui ont grandi sous la révolution à Ziniaré, la ville du président. Les travaux de Laurent ont montré comment les pentecôtistes ont dans un premier temps refusé toute implication dans l’univers du politique considéré comme impur, corrompu et grevé par le péché. Si les leaders de cette mouvance de 700.000 personnes participent aujourd’hui à la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante), rien ne nous permet de penser que tous les pasteurs ruraux ou plus proches du petit peuple partagent cette représentation. Au contraire même, les travaux de Bourdieu s’inspirant de Weber ont montré que l’interprétation religieuse des bas membres d’une institution religieuse est toujours celle qui rejoint au plus près, parfois dans une logique de codétermination, les aspirations et représentations populaires des exclus et des plus pauvres. A Koudougou, la troisième ville du pays, les habitants tiennent des discours très libérés à propos du pouvoir. Cette ville, pour de nombreuses raisons historiques, est une ville d’opposition. Ces habitants ont pour la plupart une vision critique relativement réfléchie et lucide du pouvoir. Dans ces cas de figure, ne peut-on pas parler d’opposition de conscience ? En outre, les pratiques qui se jouent des règles de l’Etat ne témoignent-elles pas aussi d’une opposition par le sens pratique ? Il y a un véritable enjeu à cerner et comprendre l’articulation entre opposition de conscience et opposition pratique. L’analyse de la relation entre représentations et pratiques d’opposition peut éclairer la manière dont les populations conçoivent le politique et les possibilités de le transformer, peut-être, et, certainement, de s’en accommoder au quotidien.

A l’heure où la décentralisation se poursuit, ces questions sont d’une importance cruciale. Le 12 février 2006, le scrutin municipal sera étendu aux nouvelles communes. Si aujourd’hui pour des raisons évidentes de contrôle et de maîtrise du jeu politique, il est interdit aux candidats indépendants de se présenter aux élections municipales, la valse des maires que connaît actuellement le Burkina (limogeage du maire de Ziniaré et de Ouahigouya, suspension des fonctions du maire d’opposition de Koudougou accusé de malversation etc.) témoigne du potentiel réactif que peuvent constituer les autorités locales. Le cas de la ville de Koudougou est particulièrement symptomatique. Alors que les autorités s’échinent, notamment à travers des manœuvres judiciaires, à écarter les leaders de l’opposition locale, la population n’est pas dupe. On peut s’étonner de la liberté et de la fidélité avec laquelle les journaux nationaux, y compris les plus proches du pouvoir (comme le Sidwaya), ont rendu compte à travers leur « micro-trottoir » de l’avis de cette population. Les enquêtes sur place donnent le même résultat, celle-ci condamne. Même ceux qui ne sont pas proches du maire, qui s’opposent à sa gestion de la commune, reconnaissent avant tout dans son éviction une manœuvre politique. 

Ce colloque sera l’occasion d’approfondir l’étude des manifestations et des modalités de ces oppositions de conscience et oppositions pratiques, ainsi que leur éventuelle portée sur les choix politiques. Les résultats des élections les renforcent-ils ou au contraire témoignent-ils d’une traduction de celles-ci au niveau local ? Le cas de Koudougou peut, en effet, paraître hors norme, mais d’autres régions, d’autres groupes, d’autres milieux sociaux tels que, par exemple, les jeunes de Ziniaré, les universitaires ouagalais ou les mouvements religieux en milieu rural, tout au moins en partie, perçoivent le politique sous l’œil d’un tel discrédit que la décentralisation n’évoque parfois pas autre chose qu’une décentralisation de la corruption, de pratiques néfastes et délétères dans un univers politique dont l’horizon paraît sans alternative.

Sans omettre le poids de l’extérieur sur les obligations de démocratie et sur la manière dont ceux qui vivent ce genre d'imposition arrive à ruser, c’est autour des représentations et des pratiques qui s’opposent au pouvoir en place de façon plus ou moins discrète, plus ou moins voilée, plus ou moins franche ou insidieuse que s’articulera ce colloque. 

Plus spécifiquement, les thématiques s’articuleront autour de deux axes.  Il s’agit d’une part de la coutume et l’autre de l’urbanité. Le premier axe se penchera dans la matinée sur le rôle du religieux dans l’opposition au pouvoir et dans l’après-midi sur la réinvention de la coutume (au sens de Hobsbaw et Ranger) comme outil de résistance ou de revendications. La première partie de la deuxième journée sera consacrée à l’étude des oppositions pratiques et de conscience liées à la constitution d’identités urbaines. La seconde partie se centrera sur les formes d’opposition institutionnalisée (syndicats, mouvements étudiants, partis politiques, ONG, MBDHP, groupement citoyen, de femmes, de journalistes etc.).


Organisation thématique

 

Ouverture du colloque :

- Introduction aux deux journées: Mathieu Hilgers, Jacinthe Mazzocchetti

-La question des oppositions politiques en Afrique (par le professeur J-C Willame)

Jour 1 : Autour de la «coutume»

Responsable de la journée : Pierre-Joseph Laurent

 

Atelier 1 : Le religieux

Responsable scientifique : René Otayek


Possibilité de 3 ou 4 communications (maximum) interrogeant les liens entre religion, politique et opposition au pouvoir

Débat introduit par le responsable de l’atelier

 

Atelier 2 : Des usages de la coutume

Responsable scientifique : Peter Geschiere

 
Possibilité de 3 ou 4 communications (maximum) articulées autour du rapport entre le pouvoir et les usages détournés, ou non, de la coutume par l’Etat ou les populations locales.

Débat introduit par le responsable de l’atelier

 
Conclusion de la journée : P-J Laurent

 

Jour 2 :  L’urbanité en question

Responsable de la journée : Jacky Bouju

 

Atelier 3 : Identité urbaine

Responsable scientifique : Laurent Fourchard

 
Possibilité de 3 ou 4 communications maximums mettant en lien l’urbanisation, l’opposition au pouvoir et le développement d’une conscience politique

Débat introduit par le responsable de l’atelier

 

Atelier 4 : Une opposition qui dit son nom ?

Responsable scientifique : Sten Hagberg

 
Possibilité de 3 ou 4 communications maximums autour de groupes ou institutions officiels agissant ouvertement contre le pouvoir en place (partis d’opposition, mouvements étudiants, syndicats, presse…).

Débat introduit par le responsable de l’atelier

 

Clôture

-Conclusion de chacun des ateliers par les responsables de ceux-ci (Otayek, Geschiere, Fourchard, Hagberg), 15 minutes par personne

 
-Débat

 
-Conclusion générale : J. Bouju

 



Comité scientifique

Jacky Boujou (Université de Provence), Laurent Fourchard (FNSP/CEAN-Bordeaux), Sten Hagberg (Université d’Uppsala), Peter Geschiere (Leiden University), Mathieu Hilgers (FNRS/UCL), Pierre-Joseph Laurent (UCL), Jacinthe Mazzocchetti (UCL), René Ottayek (CNRS/CEAN-Bordeaux), Pierre Petit (ULB), Claude Roosens (UCL), Michaël Singleton (UCL), Jean-Luc Vellut (UCL), Jean-Claude Willame (UCL).

Comité d’organisation

Mathieu Hilgers (FNRS/UCL, coordination), Elianne Lallemand (UCL), Pierre-Joseph Laurent (UCL), Jacinthe Mazzocchetti (UCL, coordination), Pierre Petit (ULB), Claude Roosens (UCL), Olivier Servais (UCL) et Michaël Singleton (UCL).

Procédure de soumission

Les propositions de communication (300 mots maximum) sont à envoyer pour le 31 décembre 2005 au plus tard aux adresses suivantes :

hilgers@anso.ucl.ac.be

j.mazzocchetti@anso.ucl.ac.be

Les communications écrites devront être finalisées pour le 31 mai 2006 afin de permettre aux responsables d’atelier d’en prendre connaissance avant le colloque. 

Les responsables des ateliers seront les premiers discutants des textes. Après chaque atelier, ils feront une courte synthèse. A la fin de la deuxième journée, au cours du débat final, ils reprendront les lignes de force dégagées et feront part de leurs propres recherches.

14 décembre 2005

Les membres du réseau

Doris BONNET (directrice  de recherche à l'IRD) est marraine du réseau


ACHILLI Laura

Doctorante en anthropologie sociale, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) Paris (France)
Directeur de recherche : Doris Bonnet ; encadrement sur le terrain : Marc Egrot
Titre provisoire : « La famille à l’épreuve du VIH/sida. Répercussions de l’épidémie sur des familles Mossé (Ouagadougou, Burkina Faso) »
Mots-clés : famille, VIH/sida, Mossé, Burkina Faso
Laura est également doctorante associée dans l’UR 107 de l’IRD (« Constructions identitaires et mondialisation ») et doctorante associée au programme ANRS 1281 "Réseaux de sociabilité, quête thérapeutique et vécu des traitements pour les personnes vivant avec le VIH au Burkina Faso"

ANTOINE Sylvie
Doctorante en anthropologie à l’EHESS Paris
Directeur de recherche : Doris Bonnet
Sujet : « La grossesse contemporaine au Burkina Faso »

BANHORO Yacouba
Docteur en histoire, Faculté d’Histoire de Hambourg (Allemagne)
Directeur de recherche : Prof. Dr. Leonhard Harding
Titre de la thèse : « Contribution à l’histoire des MST et du VIH/SIDA au Burkina Faso »
Mots-clés : histoire MST, épidémie VIH/sida, Burkina Faso

BAXERRES Carine
Doctorante en anthropologie à l’EHESS Paris
Sujet : « Santé et mondialisation. Le marché parallèle du médicament pédiatrique au Bénin »
Directeur de recherche : Doris Bonnet

BILA Blandine, épouse OUEDRAOGO
Doctorante en anthropologie sociale, Centre de Recherche Culture Santé Société (CReCSS), (rattaché au programme anthropologie de la santé), université d’Aix-Marseille III (France)
Directeur de recherche : Alice Desclaux
Titre provisoire : « Genre et médicament. Analyse anthropologique dans le contexte du sida au Burkina Faso »
Mots-clés :</i> genre, médicament, Burkina
Blandine est également ingénieur de recherche au CNRST (Centre National de Recherche Scientifique et Technologique) de Ouagadougou et chercheur dans le projet ANRS 1281 intitulé «Réseaux de sociabilité, quête thérapeutique et vécu des traitements pour les personnes vivant avec le VIH au Burkina Faso»

BROQUA Christophe
Anthropologue (a fait son doctorat à l’EHESS Paris)
Post-doctorant à l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) de Bamako (Mali), bourse SIDACTION
Titre provisoire : « Pratiques homosexuelles et gestion des risques liés au VIH/sida à Bamako »
Mots-clés (du jour) : homosexualité, sida, identité, secret, norme sociale. Mali

CARLE Juliette
Doctorante en anthropologie sociale, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) Paris (France),
Directeur de recherche : Doris Bonnet
Titre provisoire : « Nomination et renomination(s) de l'enfant dans l'adoption internationale. Etude de cas au Burkina »
Mots-clés : adoption plénière; pluriparentalité ; changement de nom. Burkina

COUDERC Mathilde
Etudiante en DEA d’anthropologie bioculturelle à Aix-en-Provence
Directeur de recherche : Bernard Taverne
Sujet : Prise en charge des personnes âgées à Dakar

DABILGOU Aimé
Etudiant en maîtrise de psychologie clinique, Université de Ouagadougou (Burkina Faso)
Directeur de recherche : Daouda Kouma
Titre : « Les groupes d’auto-support dans la prise en charge des PVVIH (personnes vivant avec le VIH/sida. Le cas des groupes de paroles »
Mots-clefs : groupes d’auto-support, prise en charge, PVVIH, Burkina
Aimé a été également membre du bureau d’une association de PVVIH à Ouagadougou, Vie Positive, où il s’occupait de la cellule de prise en charge psychosociale

DEGORCE Alice
Doctorante en anthropologie sociale, Université de Bordeaux II (France)
Directeur de recherche : Sory Camara
Sujet de recherche : Rites et chants funéraires moose dans la région de Kindi (Burkina Faso)
Mots-clefs : rites et chants funéaires, Moose, Kindi, Burkina Faso</body></small>

DESCLAUX Alice
Anthropologue, médecin
Alice Desclaux enseigne l'anthropologie de la santé à l'université d'Aix en Provence.
Elle fait partie du CReCSS (Centre de Recherche Culture, Société, Santé) à l’Université d’Aix-Marseille III (France)

EGROT Marc
Anthropologue, médecin
Marc Egrot est chercheur associé à l’UMR 7043 du CNRS à l’Université Marc Bloch de Strasbourg (France) ;
Chercheur associé au CReCSS (Centre de Recherche Culture, Société, Santé) à l’Université d’Aix-Marseille III (France) ;
Coordinateur du programme ANRS 1281à Ouagadougou (Burkina Faso) : « Réseaux de sociabilité, quête thérapeutique et vécu des traitements pour les personnes vivant avec le VIH au Burkina Faso »

GUILLERMET Elise
Doctorante en anthropologie sociale, Université de Lyon (France)
Directeur de recherche : Michèle Cros
Titre provisoire : «L’enfance ambiguë. Etude anthropologique des trajectoires des enfants béninois en manque de socialisateurs»
Mots-clefs : orphelins, Bénin

HEJOAKA Fabienne
Doctorante en anthropologie sociale, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) Paris (France)
Directeur de recherche : Doris Bonnet
Sujet de recherche : « Grandir avec le VIH. Socialisation et identité de l'enfant au Burkina Faso »

HIEN Raïssa
Etudiante en maîtrise de sociologie, Université de Ouagadougou (Burkina Faso),
Directeur de recherche : André Soubeiga
Sujet de recherche : « Vécu des traitements ARV pour les PVVIH (personnes vivant avec le VIH/sida)»

IPARA MOTEMA Joel
Doctorant en anthropologie sociale et culturelle de l’Université de Kinshasa en RDC.
Directeur de recherche : Prof.Bruno Lapika Dimomfu
Titre du projet : La re-appropriation des savoirs endogènes médicaux à Kinshasa
Joel est également chercheur à l'Institut des Musées Nationaux du Congo et au CERDAS / Université de Kinshasa.
Ses recherches portent sur les tradi-praticiens et les prophètes guérisseurs de l’espace Kwango-Kwilu exercant leur profession à Kinshasa. Actuellement consacre ses recherches sur les maladies pour lesquelles les patients urbains de kinshasa recourent aux savoirs des tradi-praticiens et des prophètes guérisseurs.

ISNARD Emmanuel
Doctorant en anthropologie sociale, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) Paris (France)
Directeur de recherche : Doris Bonnet
Titre provisoire : « Appropriation des savoirs et usages scolaires au Burkina Faso »

MAZZOCHETTI Jacinthe
Doctorante en anthropologie à l’Université de Louvain-La-Neuve (Belgique)
Directeur de recherche : Pierre-Joseph Laurent
Titre provisoire : « Transformations des rapports homme/femme et de la famille au sein des jeunes universitaires Ouagalais »

OUBIAN Souleymane
Etudiant en 5ème année de médecine à l’université de médecine de Ouagadougou (Burkina Faso)

QUERRE Madina
Docteur en ethnologie et victimologue appliquée à l'enfance
Madina QUERRE est également chercheur associée de l’UR 036 et de l’UMR 5185 ADES CNRS, "Prise en charge du Sida en Afrique"

SINON Aminata
Doctorante en anthropologie de la maladie à l’EHESS Paris
Directeur de recherche : Jean-Pierre Dozon.
Mots-clefs : cancer, Burkina Faso

SCHWÄERZLER Patricia
Doctorante en anthropologie à l’université de Bâle (Suisse)
Titre provisoire : « Entre normes sociales, actions et pensées locales. Gestion des relations sexuelles et genre à Ouagadougou»

YOUGBARE Sebastien
Maître en psychologie clinique et pathologique
Directeur du Bureau d'Etude et de Guidance Psychologique depuis 2004 (consultations prise en charge psy PVVIH ; OEV ; enfants des rues ; mineurs et femmes détenus ; scolaires en difficultés ; structures de conseil dépistage VIH)
Psychologue Praticien depuis 1995 (Croix Rouge de Belgique/1999-janvier2004 ; Ministère Action Sociale/1995-Aout1999)
Consultant chargé du projet SIDA au CCFC/BURKINA(depuis2004).Couvre 5provinces du pays.
Psychologue Praticien Consultant chargé du soutien psychologique aux OEV et PVVIH à l'ASSOCIATION DES JEUNES POUR LA PROMOTION DES ORPHELINS (AJPO)

14 décembre 2005

Présentation et histoire du réseau

 

Présentation du réseau

Le réseau "Dynamiques Familiales en Afrique subsaharienne" regroupe des étudiants en second et troisième cycle, des post-doctorants et des chercheurs en sciences humaines et sociales (anthropologie sociale, sociologie, psychologie, histoire), ainsi que des étudiants en médecine.  Les membres sont originaires de différents pays (Belgique, Burkina Faso, France et Suisse).
 
Ce réseau a été créé en 2004 dans le but de mettre en relation des étudiants et chercheurs travaillant sur des thématiques liées à la santé (VIH/sida, cancer, traitements) et à la famille (dynamiques sociales, enfance, adoption, relations de genre, homosexualité, etc.) dans différents pays d’Afrique subsaharienne, en particulier au Burkina Faso.
L’intérêt premier est ainsi de pouvoir confronter travaux, problématiques et hypothèses, méthodes de travail et expériences de terrain, chacun ayant un regard différent sur la recherche et sur son domaine de prédilection, de part sa discipline, ses méthodes et ses moyens.

Ce groupe a également pour but, par le biais de ce blog, d’échanger des conseils et des informations, notamment sur l’actualité de la recherche (parutions, colloques, séminaires, etc.)

Publicité
Reseau Dynamiques familiales en Afriques subsaharienne
Publicité
Archives
Derniers commentaires
Publicité